10/12/2011

LE PÉDOPHILE LEON OBAME ARRÊTÉ APRES AVOIR VIOLEMMENT AGRESSÉ L'AMBASSADEUR DU GABON AUX USA .

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LEON OBAME , LE PEDOPHILE ARRETE 

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07/12/2011

Gabon: Allocution du Président Ali Bongo Ondimba , 17ème Conférence des Parties à la Convention Cadre des Nations Unies sur le changement climatique de Durban (Afrique du sud) .

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Excellence Monsieur le Président de la République d'Afrique du Sud,
Excellences Messieurs les Chefs d'Etat,
Excellence Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies,
Excellence Mesdames et Messieurs les Chefs de délégation,
Distingués délégués,


Le Gabon est heureux de prendre part à cette 17e conférence des parties et je voudrais féliciter le Président Jacob ZUMA d'avoir bien voulu accueillir cette importante rencontre.

Se pencher sur l'avenir de notre planète doit être un moment de profonde introspection sur notre responsabilité, notre ambition et notre action collective pour prévenir le changement climatique.

Ca fait presque 20 ans qu'on s'est retrouvé lors du Sommet de la Terre à Rio de Janeiro, et le Protocole de Kyoto a été mis en route depuis 15 ans. Les difficultés rencontrées à ce jour montrent que notre système de négociation a besoin d'être réformé pour l'adapter à l'ampleur des problèmes que pose le changement climatique.

Mesdames et Messieurs,

Le changement climatique est devenu un enjeu politique, géostratégique, de paix et de sécurité pour notre planète, en même temps qu'il présente des défis économiques et sociaux majeurs.

L'évolution du climat de la planète nous impose de réorienter nos choix économiques, nos choix technologiques et de modifier nos comportements de consommation. Il nous faut aussi redessiner les valeurs de solidarité, entre les Etats, entre les peuples et entre les générations.

L'inaction actuelle transforme déjà les conséquences du changement climatique en désastre humain. Au Gabon, nous en subissons quotidiennement les conséquences néfastes. L'érosion sur nos 800 kilomètres de côte provoque la destruction d'infrastructures et d'habitats. Cette situation qui s'aggrave jour après jour est devenue une profonde source de préoccupation de mes concitoyens.

En effet, c'est plus de la moitié de la population et près de trois quarts de l'activité économique du pays qui sont menacés.

Notre capitale économique est régulièrement sous les eaux du fait de la montée du niveau de la mer. C'est pourquoi, une étude d'envergure en cours de finalisation, doit permettre d'élaborer un plan d'adaptation à la hauteur des enjeux.

Excellence, Mesdames, Messieurs,

La lutte contre les changements n'est plus un choix. Elle impose un engagement de la part de chacun d'entre nous. C'est la raison pour laquelle, je voudrais ici témoigner de ce que mon pays fait pour lutter contre le changement climatique.

L'Afrique qui a vu naître l'Humanité, ne doit pas être, ici à Durban, le cimetière des espoirs des populations du monde qui espèrent, conférence après conférence, qu'on leur apporte des solutions pour un monde meilleur.

Pour cela, il nous faut des actions concrètes, justes, généreuses et efficaces. Celles-ci doivent nécessairement s'ancrer dans une nouvelle période d'engagement, où chacun d'entre nous devra prendre ses responsabilités au regard de ses circonstances nationales.

Ces actions interpellent ceux qui ont la responsabilité historique dans ce problème planétaire et qui en ont tiré des avantages pour leur développement.

Elles sont aussi l'affaire de ceux que la Nature a dotédotés de ressources naturelles qui peuvent avoir un impact positif ou négatif sur le climat.

Parce que d'autres subissent, impuissants, les conséquences néfastes de ce changement climatique, Ils ont besoin que des efforts soient faits ; et je pense particulièrement aux pays du Sahel et aux Etats insulaires.

Excellence, Mesdames, Messieurs,

En 2009, j'ai été élu Président en proposant à mes concitoyens une vision, celle d'un Gabon émergent.

Cette vision s'appuie sur une stratégie qui permettra d'accroître le PIB du Gabon de 11 milliards de dollars US à plus de 20 milliards de dollars US d'ici à 2025. Pour le faire dans une logique rationnelle et durable, il nous faut désormais transformer localement nos matières premières, afin d'augmenter nos revenus tout en optimisant l'utilisation des ressources naturelles.

Notre ambition est aussi et d'abord d'élever l'indice de développement humain du Gabon en adéquation avec nos richesses et les attentes légitimes de mes compatriotes.

Ma participation à la conférence de Copenhague m'a amené à adapter ce programme de développement aux enjeux du changement climatique. Aussi, avais-je promis au cours de cette conférence, que le Gabon formulerait son plan national de lutte contre les changements climatiques.

Pour ce faire, j'ai crée le Conseil National Climat, que j'ai placé sous mon autorité directe.

Ce plan national nous permettra non seulement de maîtriser nos émissions de gaz à effet de serre, mais aussi de réduire et de prévenir les risques liés à la vulnérabilité de notre territoire.

Ce plan me permettra au nom du peuple gabonais de prendre des engagements concrets et durabledurables au nom du peuple gabonais pour luter contre les changements climatiques.

Recouvert par 88% de son territoire, le Gabon totalise 23,7 millions d'hectares de forêts qui sont gérés d'une manière durable et responsable. Notre politique forestière initiée dès 2001 a permis de réduire de plus de 60% notre taux de déforestation, le situant aujourd'hui autour de 0,010% par an.

Différentes études réalisées au Gabon montrent que ce sont près de 450 millions de tonnes d'émissions de CO2 qui ont été évitées depuis 2000, grâce à la réduction de la déforestation et la dégradation des forêts dans les concessions certifiées, ainsi que par la création d'aires protégées.

Ces chiffres montrent à eux seuls que la Communauté internationale peut faire confiance aux pays forestiers pour la gestion de leurs forêts, considérées de plus en plus comme des biens de l'Humanité, notion que nous agréons, car il s'agit avant tout de nos vies, de notre développement, et surtout de l'avenir de nos enfants.

Dans cet esprit, pour exprimer notre solidarité envers les pays du Sahel, nous avons décidé de lancer une étude d'envergure sur la transformation des déchets forestiers pour la fabrication de bois de chauffe avec pour objectif la régénération des forêts soudano - sahélienne.

Il est de notre responsabilité commune de préserver nos forêts. J'ai été élu par le peuple gabonais sur la base de mon engagement à élaborer un nouveau modèle économique qui intègre dans le concept « Gabon Vert » le moyen de luter contre le changement climatique.

Cette politique, nous allons la poursuivre et l'améliorer par la mise en œuvre d'un plan d'affectation des terres, mécanisme qui à nos yeux, nous permettra de nous engager à long terme pour maîtriser la déforestation. En effet, notre territoire principalement recouvert de forêts, nous oblige à rationaliser et à optimiser l'utilisation de ces terres.

Ce plan sera disponible à la fin de l'année 2012. Il devra prendre en compte tous les besoins en terres liés au développement de l'agriculture, de l'exploitation minière, des infrastructures et de l'habitat. Les terres attribuées aux différents secteurs d'activités seront alors protégées par des textes de loi, de la même manière que nous l'avons fait pour nos parcs nationaux.

En outre, ce plan est l'occasion pour nous de créer un fonds foncier pour les générations futures.

Pour suivre la mise en œuvre de toutes ces actions, le Gabon s'est doté, avec l'appui des partenaires que sont la Brésil et le France, d'une station d'acquisition d'images satellites pour la surveillance forestière et environnementale. Plus d'une vingtaine de pays d'Afrique pourront ainsi bénéficier d'un accès libre aux images de leur territoire.

Pays forestier, le Gabon est aussi producteur de pétrole. Le torchage des gaz est la deuxième source après la forêt, d'émission de gaz à effet de serre au Gabon.

Le Plan national de réduction des gaz torchés vient d'être adopté en totale collaboration avec les opérateurs de ce secteur. Ils se sont engagés à réduire d'ici à 2015, 60% du volume de gaz brûlés, soit plus de 2 millions de tonnes de CO2 évités par an. Ces gaz seront désormais valorisés en électricité et en engrais.

A l'horizon 2020, 80% de l'énergie produite au Gabon sera de l'énergie propre, basée sur l'hydroélectricité. Deux nouveaux barrages sont déjà en construction.

Pour assurer la pérennité de notre démarche nous allons promouvoir le civisme écologique et renforcer le dispositif institutionnel et réglementaire.

Dès l'année prochaine, je ferais en sorte que l'administration gabonaise traduise ces options stratégiques sur le terrain en créant des structures adaptées à cet effet.

Ainsi, chaque administration publique, chaque entreprise privée, publiera tous les ans son bilan carbone. De même l'impact sur le Climat de tous les projets de développement devra être évalué. A l'échelle internationale, le Gabon publiera tous les deux ans sa communication nationale.

Excellences, Mesdames, Messieurs,

S'engager dans une politique de développement sobre en carbone est pour nous un acte de responsabilité partagée, un acte de solidarité collective. Nous avons pris cette engagement de manière rationellerationnelle. Il est fondé sur des études qui nous ont permis d'élaborer le plan d'action climat.

La lutte contre les changements climatiques requiert une détermination sans faille. Je suis venu ici vous dire ce que mon pays est en train de faire au moment que l'avenir de la planète est en jeu. Sans engagements forts de notre part à tous, ce siècle sera engagé dans un spirale de pauvreté et de souffrance.

Ce n'est pas un futur acceptable pour nos enfants. Le temps est venu maintenant d'avoir une action collective et de saisir l'opportunité de gérer sagement l'avenir.

Nous ne pouvons compromettre le futur de l'humanité : il n'y a pas de « Plan B ».

Je vous remercie.


S.E. Ali Bongo Ondimba , Chef de l'Etat , Président de la République Gabonaise.



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Gabon: Le Président Ali Bongo Ondimba présente à Durban les principales mesures d'un Plan Climat national ambitieux .

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Durban, le 6 décembre 2011 – En annonçant les mesures phares de son Plan Climat national, le Président Ali Bongo Ondimba a confirmé la position du Gabon comme pays responsable et engagé dans la lutte contre les changements climatiques au cours de la 17ème COP (Conférence des Parties de la Convention-cadre des Nations Unies sur le changement climatique) qui se tient à Durban du 28 novembre au 6 décembre 2011.

«
La lutte contre les changements n'est plus un choix. Elle impose un engagement de la part de chacun d'entre nous. C'est la raison pour laquelle, je voudrais ici témoigner de ce que mon pays fait pour lutter contre le changement climatique. » a déclaré le Président de la République Gabonaise Ali Bongo Ondimda lors de son intervention à Durban devant plusieurs chefs d'Etat.

Face à l'urgence reconnue par tous de lutter contre les changements climatiques, le Président Ali Bongo Ondimba a présenté la contribution du Gabon à ce défi pour l'Humanité : une gestion responsable de ses plus de 23 millions d'hectares de forêts tropicales qui sont un véritable puits à carbone et un Plan Climat national ambitieux pour intégrer la composante climatique dans sa stratégie de développement et diminuer efficacement l'émission de gaz à effet de serre.

Un Plan Climat ambitieux

La création de ce Plan Climat national est la concrétisation de l'engagement pris en décembre 2009 à Copenhague par le chef de l'Etat gabonais lors de la COP 15. Dès mai 2010, le Président Ali Bongo Ondimba a ainsi créé un Conseil National Climat placé directement sous sa supervision afin d'élaborer un véritable plan national de lutte contre les changements climatiques.

« Ce plan national nous permettra non seulement de maîtriser nos émissions de gaz à effet de serre, mais aussi de réduire et de prévenir les risques liés à la vulnérabilité de notre territoire. » a précisé le chef d'Etat gabonais.

Le Plan Climat du Gabon comprend plusieurs mesures phares :

Un plan d'affectation des terres pour une meilleure gestion de l'ensemble de son territoire. Disponible fin 2012, ce plan permettra de déterminer avec précision les zones d'implantation pour des activités économiques (agriculture, exploitation minière, infrastructures, habitat) tout en atténuant les facteurs de vulnérabilité aux conséquences des changements climatiques – les deux principaux dangers recensés au Gabon sont les inondations et l'érosion côtière - et en réduisant la déforestation dans un pays recouvert à 88% de forêts. Il entraînera également la création d'un fonds foncier pour les générations futures.

Un plan national de réduction des gaz torchés pour diminuer l'émission de gaz à effet de serre (GES). Ce plan vient d'être adopté en collaboration avec le secteur pétrolier. Premier producteur de gaz à effet de serre au Gabon avec 6,7 millions de tonnes de CO2 émises par an, l'industrie pétrolière se verra fixer comme objectif de diminuer de 60% le volume de gaz torché d'ici à 2015, soit plus de 2 millions de tonnes de CO2 évités par an. Des investissements ont déjà été réalisés par plusieurs compagnies pétrolières pour la viabilisation économique sur le marché national (production d'électricité et d'engrais).

La production d'énergie propre avec l'accent mis sur l'hydroélectricité. Deux barrages hydroélectriques sont actuellement en cours de construction et à l'horizon 2020 c'est 80% de l'énergie produite au Gabon qui sera propre.

La production systématique d'un bilan carbone chaque année pour les administrations publiques, les entreprises privées et pour tout nouveau projet.

Au niveau national, le Gabon publiera tous les deux ans sa communication nationale, qui est l'équivalent d'un bilan carbone à l'échelle d'un pays.

L'objectif de ce Plan Climat est également de permettre de concilier protection de l'environnement et développement économique durable, et notamment avec la stratégie du Gabon Emergent du Président Ali Bongo Ondimba.

Le Gabon se dote d'un outil de surveillance et d'évaluation

Autre disposition phare : l'Agence d'Etudes et d'Observations Spatiales. Créée en février 2010, AGEOS a pour principale vocation d'être un outil de suivi et d'évaluation du Plan Climat du Gabon et, à travers un programme de coopération régionale, de renforcer les capacités des pays d'Afrique Centrale dans le domaine de l'observation de la Terre.

La station de réception d'images satellites sera dotée d'un rayon de couverture de 2 800 kilomètres, lui permettant de couvrir une vingtaine de pays africains.

Dans le cadre du projet AGEOS, le programme SEAS (Surveillance de l'Environnement Assisté par Satellite) développé en coopération avec la France et le Brésil, permettra au Gabon et aux autres pays d'Afrique Centrale de renforcer la gestion durable de leur environnement et notamment des 2 millions de kilomètres carrés de forêts du Bassin du Congo à travers un centre de compétence régionale.

Le rôle primordial de la forêt gabonaise dans la lutte contre le réchauffement climatique

L'ensemble de ces mesures et dispositions illustre la position à la fois responsable et pionnière du Gabon sur ce grand défi du XXIème siècle qu'est la lutte contre les changements climatiques, et sur lequel il se distingue déjà par sa contribution à l'effort mondial.

Le Gabon joue en effet un rôle moteur dans la sauvegarde de la forêt du Bassin du Congo, deuxième poumon vert de la planète après l'Amazonie avec deux millions de kilomètres carrés de forêts équatoriales captant chaque année plus de 70 millions de tonnes de dioxyde de carbone.

88% du territoire gabonais est recouvert de forêts (23,7 millions de km²) qui ont permis de séquestrer près de 450 millions de tonnes de carbone sur la dernière décennie.

En 2002, le Président Omar Bongo Ondimba avait déjà décidé de classer 11% du territoire national en zone protégée - deuxième rang mondial en termes de pourcentage de superficie protégée après le Costa Rica - permettant ainsi la création de 13 parcs nationaux.

Grâce à une politique active de préservation de ce patrimoine naturel, la capacité de séquestration de la forêt gabonaise a même augmenté pour passer de 40 millions de tonnes par an dans les années 1990 à plus de 50 millions de tonnes actuellement alors que taux de déforestation a chuté de plus de 60% (taux actuel de 0,010% par an).

Cette politique est aujourd'hui poursuivie et amplifiée par le Président Ali Bongo Ondimba dans le cadre de son projet de « Gabon Vert ». En septembre 2010, le Président Ali Bongo Ondimba a été désigné porte-parole de la position africaine sur la biodiversité à l'issue de la Conférence panafricaine de Libreville.

« La lutte contre les changements climatiques requiert une détermination sans faille. Je suis venu ici vous dire ce que mon pays est en train de faire au moment où l'avenir de la planète est en jeu. Sans engagements forts de notre part à tous, ce siècle sera engagé dans une spirale de pauvreté et de souffrance. Ce n'est pas un futur acceptable pour nos enfants. Le temps est venu maintenant d'avoir une action collective et de saisir l'opportunité de gérer sagement l'avenir. Nous ne pouvons compromettre le futur de l'humanité : il n'y a pas de « Plan B » a conclu le Président Ali Bongo Ondimba dans son message lancé à la communauté internationale.


La politique du Gabon Emergent

Depuis l'élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd'hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l'horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

·le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d'hectares de forêt, 1 million d'hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l'industrie du bois, l'agriculture et l'écotourisme ;

·le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l'économie nationale ;

·le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l'objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l'information, les métiers de l'économie verte, de l'enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d'ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d'investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d'information, merci de visiter  http://www.presidentalibongo.com/ ou contacter http://www.cocom.rggov.org/ 

 

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06/12/2011

Gabon: DÉCLARATION DE LA COALITION DE LA SOCIETE CIVILE GABONAISE

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Mes chers compatriotes , voici l'unique et vraie société civile Gabonaise. UNE SOCIÉTÉ CIVILE , RESPONSABLE , NON PARTISANE , INTELLIGENTE , HONNÊTE , CRÉDIBLE ET SÉRIEUSE .


En conséquence, tout individu ou organisation autre que celle-ci , qui se revendiquerait de ladite société civile ne serait rien d'autre qu'une escroquerie et une grossière imposture . Soyez vigilent !


A Libreville, ce lundi 5 décembre 2011 a été tenu un point de presse par la Coalition de la Société Civile. Cette coalition regroupe les organisations qui composent la société civile gabonaise.

Durant ce point de presse son porte-parole,
Guy René MOMBO LEMBOMBA, a expliqué en détails les dérives de la société civile, et les raisons pour lesquelles celle-ci doit redevenir neutre.

Il a réaffirmé officiellement la nécessité pour la société civile d'être un observateur neutre pour les élections législatives de décembre 2011 face à des appels au boycott lancés par certains membres de la société civile, et ce au mépris des lois et des institutions de la République Gabonaise.

§ Les dérives

Selon le porte-parole de la Coalition de la Société Civile Gabonaise, la crédibilité et la transparence du scrutin repose autant sur le contrôle exercé par les organismes internationaux, que sur l'éthique et la neutralité des observateurs issus de la société civile.

Or s'il est « bien entendu,…évident dans un Etat de droit que tout citoyen est libre d'œuvrer pour son parti politique ou de chercher à séduire les partisans du changement pour s'assurer une popularité. Mais de là à semer la confusion au sein des organisations de la société civile ou pire à jeter l'opprobre sur la société civile en appelant les citoyens à l'incivisme et programmer le chaos, ça, nous ne pouvons l'accepter. ». A déclaré Guy René MOMBO LEMBOMBA dans son intervention.

§ Les mesures

Dans un premier temps, M. MOMBO LEMBOMBA, préconise de rompre tous liens avec les leaders des partis politiques des deux bords afin que la société civile ne soit plus instrumentalisée dans les débats politiques et qu'elle puisse retrouver sa crédibilité.

Il s'agit de rendre à la société civile son rôle de garant d'une « prise de conscience d'une authentique dynamique pluraliste. » a encore dit le porte-parole.

Dans l'espoir de transformer sa prise de parole en actions concrètes et « dans le soucis de recueillir les avis concertés de l'ensemble des organisations de la société civile ». M. MOMBO LEMBOMBA annonce pour le samedi 10 décembre 2011, la tenue d'une conférence publique.

« … seul un acteur neutre, sans esprit partisan peut garantir l'évaluation des politiques, stratégies et actions gouvernementales comme le recommande la communauté internationale. Nous sommes prêts à relever ce défi ! ». A ainsi conclu M. Guy René MOMBO LEMBOMBA, prenant ainsi le contre-pied de certains ténors politiques de la société civile qui s'illustrent ces derniers mois par l'esprit résolument partisan de leurs prises de positions.


CI-JOINT LE DISCOURS :

Mesdames et Messieurs de la Presse,
Mesdames, messieurs, Distingué membres de la Société Civile

Depuis quelques mois, l'actualité nationale est essentiellement focalisée sur les élections législatives du 17 Décembre 2011 avec un accent particulier sur le positionnement de la société civile.

Il nous plaît à ce propos de rappeler à l'opinion nationale et internationale que lors de sa visite au Gabon en septembre 2010, Son Excellence Ban Ki Moon, Secrétaire Général des Nations Unies avait rencontré l'ensemble de la Classe politique et des organisations de la société civile gabonaise.

Il avait été convenu que les prochaines élections au Gabon s'organiseraient autour de la crédibilité et de la transparence. Conditions sine qua non et gages d'un réel développement du Peuple, sous la houlette de la démocratie et de l'état de droit.

Malheureusement, depuis les résultats de la Présidentielle de 2009, le Gabon traverse une crise politique dans laquelle les partis de l'opposition et le camp vainqueur de ladite élection continuent de s'affronter au travers des médias et des instances de régulation de la démocratie au Gabon.

Dans le même temps, un groupuscule de membres de la société civile, délaissant leur éthique de neutralité, se retrouve paradoxalement solidaire de l'opposition dont elle serait devenue la caisse de résonnance au motif que lui seul serait porteur d'espoirs de la justice sociale et de la gouvernance démocratique.

Bien entendu, Il est évident dans un Etat de droit que tout citoyen est libre d'œuvrer pour son parti politique ou de chercher à séduire les partisans du changement pour s'assurer une popularité.

Mais de là à semer la confusion au sein des organisations de la société civile ou pire à jeter l'opprobre sur la société civile en appelant les populations à l'incivisme et programmer le chaos, ça, nous ne pouvons l'accepter plus longtemps . C'est pourquoi nous disons dores et déjà « çà suffit comme ça ! ».

Mesdames et Messieurs,

En juin dernier, lors de la publication de l'étude sur l'implication de la société civile dans le processus électoral, un membre de la société civile dont je tais le nom par modestie s'était fortement exprimé en ces termes : « En cet instant solennel, la société civile par ma voix doit faire son propre bilan et regarder avec froideur le chemin déjà parcouru par elle afin de mieux dessiner les perspectives d'une nouvelle collaboration avec les acteurs politiques et du développement de ce pays ».

Dès à présent le questionnement qui sied désormais à la société civile est le suivant : quand allons-nous taire nos différents égos et parler d'un même cœur des problèmes et solutions possibles pour notre pays ?

Quand allons-nous cesser de nous faire manipuler par les leaders des partis politiques et autres personnalités influentes rien que pour des intérêts nombrilistes ?
quelles positions communes et concertées adoptons nous stratégiquement pour la prise en compte de l'amélioration du niveau de vie de nos concitoyens ?
et que faisons-nous pour leur permettre de prendre en main leurs propres destinées en parfaite connaissance de cause ?

Chers Compatriotes,

L'Article 3 de la Constitution Gabonaise fait référence à la Démocratie Pluraliste. Tout comme l'article 6 fait référence aux groupements politiques comme entité concourant à l'expression du suffrage.

Dès lors, la plaidoirie en faveur du pluralisme qui ne manque pas de caractériser la société civile et dont se font l'écho les médias peut ainsi être analysée comme un pas décisif vers la prise de conscience d'une authentique dynamique pluraliste.

Cette dynamique s'inscrit dans une perspective qui vise à rompre radicalement avec les apories de l'unité durement vécues et vendues près d'un siècle au Peuple Gabonais.

C'est fort de cela, et au nom du sacro-saint principe de la neutralité de la société civile, conscient de notre rôle de suivre, évaluer, contrôler l'action gouvernementale et veiller à la participation citoyenne au développement du pays,les OSC membres de la coalition ici réunies saisissent l'occasion de ce point de presse pour appeler l'ensemble des acteurs de la société civile gabonaise pour être des hérauts d'une profonde réflexion assortie d'actions à entreprendre et mener très rapidement pour redorer le blason de la société civile ternie par des activistes en mal de sensations.

L'enjeu des élections, comme cela se fait au Brésil, est la professionnalisation de la société civile dans le contrôle du processus électoral en tant qu'observateurs national indépendant.

Cela se fait ailleurs, et plus près de nous en Afrique de l'Ouest, pourquoi pas chez nous ? Quand allons-nous réellement prendre notre destin en mains ?

L'avenir de la démocratie et de l'état de droit est aussi entre nos mains pour garantir une plus grande participation citoyenne à l'idéal de développement, de démocratie et de répartition équitable des richesses nationales dans tous les secteurs clés du développement.

En conséquence, dans le souci de recueillir les avis concertés de l'ensemble des organisations de la société civile une conférence publique ayant pour thème : « Société Civile, entre éthique et civisme » avec l'intervention d'éminents experts pour éclairer les uns et les autres sera organisé le samedi 1O décembre à 9h30.

Mesdames et Messieurs, seul un acteur neutre, sans esprit partisan peut garantir l'évaluation des politiques, stratégies et actions gouvernementales comme le recommande la communauté internationale. Nous sommes prêts à relever ce défi !


Pour la coalition le porte parole
Guy René MOMBO LEMBOMBA
Tél : 07 39 04 65


Point de Presse / Coalition de la Société Civile...


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04/12/2011

Gabon: Plainte contre Maître Paulette Oyane Ondo au tribunal correctionnel de Libreville .

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Communiqué de Presse :

Maître Paulette Oyane Ondo , sur son mur facebook accuse , Raphael Ntoutoume Nkoghe , Conseiller du Président de la République Gabonaise , de rédiger des articles dans le journal " Le Scribouillard " sous le nom de France Oyane Angwe et affirme qu'il n'a jamais fréquenté aucune école de journalisme, ni même terminé le moindre cycle universitaire.

Ce qui , pour Monsieur Raphael Ntoutoume Nkoghe est absolument faux et relève de la calomnie pure et simple .

D'où , le Conseiller du Président de la République Gabonaise , Raphael Ntoutoume Nkoghe , invite Maître Paulette Oyane Ondo a apporter la preuve de ses accusations .

En milieu de semaine , Maître Paulette Oyane Ondo recevra sa citation directe de comparution immédiate au tribunal correctionnel de Libreville.

Fait à Libreville , le 4 décembre 2011

Raphael Ntoutoume Nkoghe
Conseiller du Président de la République Gabonaise




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01/12/2011

Gabon-Journée Mondiale de lutte Contre le SIDA : Discours de la Première Dame , Sylvia Bongo Ondimba .

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Libreville, 1er décembre 2011, Lycée Léon Mba - A l'occasion de la célébration de la Journée Mondiale de lutte contre le SIDA, la Première Dame du Gabon, Sylvia BONGO ONDIMBA , a adressé un message dans lequel elle a rappelé l'objectif " Zéro SIDA ".


Monsieur le Ministre de la Santé, des Affaires sociales, de la Solidarité et de la Famille,
Mesdames et messieurs les partenaires au développement,
Mesdames et Messieurs,
Chers élèves,

La Journée mondiale de Lutte contre le Sida est l'heure du bilan et de l'engagement. Cette année, le thème retenu par la communauté internationale est l'Objectif Zéro :

Zéro nouvelle infection au VIH ;
Zéro discrimination ;
Zéro décès liés au sida .

Trois engagements que nous devons garder à l'esprit tout au long de l'année 2012.

La Journée mondiale de Lutte contre le Sida est extrêmement importante à mes yeux. Importante, car elle nous rappelle l'impact du VIH dans nos familles et dans nos communautés.

Chaque jour, 7 000 nouvelles personnes sont infectées dans le monde ;
Au Gabon, environ 63 000 personnes (…), avec une prévalence du VIH chez les jeunes gabonais de 15 à 24 ans, de 4,8%.

Cette situation n'est plus acceptable.

L'an passé, je vous ai entendus. J'ai mené un intense plaidoyer auprès du Président de la République et partout où une tribune m'a été offerte. Ensemble, nous avons obtenu des résultats tangibles.

Le gouvernement a adopté des mesures historiques :

La gratuité du traitement ;
- La gratuité de la prise en charge des soins ;
- Et l'augmentation généralisée des ressources allouées à la lutte contre le VIH/Sida .

Je me réjouis de ces avancées et je veux qu'elles nous poussent à aller encore plus loin.

Pour cela, j'ai besoin de tous les Gabonais et en particulier de vous, les jeunes. Vous êtes l'avenir de ce pays et vous en créer la dynamique.

Le 21 janvier, le Gabon accueillera la Coupe d'Afrique des Nations. Tout le continent africain aura les yeux rivés sur notre beau pays. Je compte sur notre jeunesse pour montrer l'exemple.

Pour la CAN et dès le 6 janvier, ma Fondation va lancer une importante opération de sensibilisation :
3 – 0 pour une CAN SANS SIDA .

Je compte sur l'implication de tous les Gabonais dans cette campagne.

Responsabilité… c'est ce que je souhaite pour notre pays et nos communautés.

Responsables, nous le sommes tous. Chaque citoyen a le devoir de participer à la société. Chacun à son niveau doit rendre compte de ses actes, penser au bien être de nos communautés, à la santé collective.

Information, Prévention, Protection, Dépistage, Soins, Respect, autant de conditions nécessaires pour une franche et nette victoire : un 3-0 contre le sida.

Je veux que le Gabon soit un modèle pour les autres pays. En Afrique, le sida tue encore plus qu'ailleurs. Ce sont bien sûr les hommes et les femmes mais aussi les valeurs de l'Afrique qui s'en trouvent affectées.

La Famille …

Autrefois forte et unie, la cellule familiale se désagrège sous l'effet d'une pandémie qui engendre orphelins, veuves et pauvreté.

Comprenons-nous bien. Les conséquences du Sida impactent non seulement ceux qui en sont atteints, mais aussi

les parents qui les soignent ;
les enfants qui leur survivent ;
les voisins qui perdent leurs amis ;
les communautés qui souffrent socialement et économiquement de leur absence.

En cette journée mondiale contre le Sida, il est question d'engagements et d'actions.

Des actions, j'en mène dans le cadre de la fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille.

Au cours de l'année 2011, j'ai par exemple lancé le programme « Tous Unis pour la Santé de la Mère et de l'Enfant ». Nous accompagnons ainsi la formation des professionnels de santé à la prévention de la transmission du VIH de la mère à l'enfant.

En 2012, vous pourrez encore compter sur mon engagement à vos côtés. Je serai toujours à votre écoute mais j'ai aussi besoin de votre participation active.

Laissez nous vous conseiller. Soyez réceptifs, réactifs. Montrez vous responsables.

J'ai confiance en vous.

En nous mobilisant sans réserve, en nous appropriant les initiatives internationales pour lutter contre le VIH/sida et en adoptant un comportement franc, ouvert et responsable, nous pourrons atteindre l'objectif Zéro.

Cette journée mondiale contre le SIDA est une journée remplie d'espoir et d'espérance. Elle nous rappelle qu'en poursuivant nos efforts, nous parviendrons à faire de ce monde, un monde sans SIDA.

C'est l'ambition que j'ai pour l'ensemble du peuple gabonais et pour la jeunesse de notre pays.

Je vous remercie.



Plus d'info : 
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MICHEL OGANDAGA

Gabon : CAN 2012 SANS SIDA ...

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30/11/2011

LE GABON ÉMERGENT EN ACTION : L'EDUCATION ...

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Préocupation constante du Chef de l'Etat , L'éducation fait partie intégrante du Projet de Société " l'Avenir en Confiance " du Président Ali Bongo Ondimba.



MICHEL OGANDAGA http://michelogandaga.blog.fr/  http://sylviabongondimba.blog.fr/

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Gabon: Faustin Boukoubi demande aux pédégistes altogovéens d'ignorer les détracteurs

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Législatives 2011/ Tournée interprovinciale du secrétaire, général du PDG, Boukoubi demande aux pédégistes altogovéens d'ignorer les détracteurs.

Dans le cadre de la présentation des candidats du Parti démocratique gabonais (PDG) à travers toutes les provinces du Gabon, une délégation du directoire dudit parti, conduite par son secrétaire général, était vendredi dernier à Franceville.

Parmi les consignes données :
celle de ne pas prêter oreilles à ceux qui dénigrent le PDG.

Masuku a vibré vendredi 25 novembre 2011 dans la mi-journée au son des groupes socioculturels de l'Union des femmes du Parti démocratique gabonais (UFPDG), à l'occasion de la présentation aux militants, par le secrétariat général du parti au pouvoir, Faustin Boukoubi, des candidats investis par le PDG dans la perspective des prochaines législatives.

La salle réservée pour la circonstance a dû refuser du monde.

D'entrée, Faustin Boukoubi a demandé une minute de silence en la mémoire du fondateur du parti, le Grand camarade Omar Bongo Ondimba.

Revenant ensuite sur l'objet de la cérémonie, il a déclaré, s'agissant de la province du Haut-Ogooué, avoir de bonnes raisons de se sentir plus fort qu'en 2009, car lors du décès du fondateur du parti, de nombreux militants avaient redouté le chaos.

Mais grâce à leur maturité, le bateau fut préservé du naufrage. Mieux, le candidat investi par le parti remporta brillamment la présidentielle.

Et depuis le début de sa mandature, chaque citoyen peut voir et reconnaître que de nombreuses réalisations ont été faites.

En d'autres termes, les pédégistes ne s'étaient pas trompés en investissant Ali Bongo Ondimba.

S'agissant des futures consultations électorales, il a déclaré qu'elles se tiendront sans la biométrie, car les conditions techniques et financières permettant son introduction n'étaient pas réunies.

Dès lors, et dans le souci du respect de la légalité, il fut décidé de la tenue des législatives dans les délais constitutionnels.

Malgré tout, a-t-il affirmé, les conditions de transparence sont réunies. « Au regard du passé, il y a eu beaucoup d'avancées dans ce domaine ».

Avant d'ajouter : « nous ne somme pas en retard dans le domaine de la transparence électorale, comparativement aux pays voisins ou ceux d'ailleurs ».

Le secrétaire général est revenu ensuite sur la passe d'armes qui a lieu en ce moment entre sa formation politique et le Centre des libéraux réformateurs (CLR) que dirige Jean-Boniface Assélé.

A ce sujet, Faustin Boukoubi n'y est pas allé avec le dos de la cuillère.

Pour lui en effet, le CLR veut empiéter sur les plates-bandes du PDG. « Ce n'est pas là où Ali Bongo Ondimba est fort qu'on doit venir lui marcher sur les pieds ».

Pour lui en effet, Assélé a décidé depuis plus de deux décennies de s'investir politiquement à Libreville, oubliant son Haut- Ogooué natal. Curieusement, à quelques semaines des législatives, il se redécouvre des ancrages dans cette province.

Pire, traité d'« égoïste » par le président du CLR, Faustin Boukoubi a répondu : « qu'il ait le courage d'aller déclarer à Ali Bongo Ondimba qu'il est égoïste, et non à moi ».

Avant de lâcher, tel un couperet : « dans le Haut-Ogooué, il n'y a pas de place pour le CLR. Le PDG ne peut soutenir des personnes qui viendront faire chanter le chef de l'Etat ».

En somme, le secrétaire général du PDG qui a davantage appelé les électeurs altogovéens à voter pour les candidats de son parti, a convié les siens à ne pas tendre l'oreille aux bruits des détracteurs.

À noter que, personnellement indexée par le président du CLR au cours d'une récente sortie, Mme Patience Dabany a réagi au cours de la manifestation de vendredi dernier. Elle a demandé aux militants de ne pas voter en faveur de ce parti.

Un message qui n'est pas tombé dans des oreilles de sourds, à en juger par la clameur qui a suivi cette consigne.

Plus d'info : http://union.sonapresse.com/index.php?option=com_content&...


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Gabon: LE LOOSER MIKE JOKTANE , POURSUIVI EN JUSTICE PAR L'ETAT GABONAIS .

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Suite à ses déclarations dans « Le scandale des biens mal acquis », Mike Jocktane est poursuivi en justice .

L'Agent judiciaire du Trésor, représentant légal de l'Etat, assisté de ses conseils
Francis Nkea Ndzigue, Haymard Mayinou Moutsinga et Georges Arama, estera en justice ce matin contre Mike Jocktane pour outrage envers les autorités et atteinte au crédit de la République et au prestige de ses institutions.

DANS un livre, « Le scandale des biens mal acquis » paru la semaine dernière, aux éditions ‘'La découverte'', Mike Jocktane soutient dans un entretien accordé aux auteurs, que le président gabonais a contribué au financement de la campagne présidentielle de 2007 du candidat Nicolas Sarkozy. Ajoutant que les transactions étaient filmées par des caméras cachées.

Des allégations qui, selon Me Francis Nkea constituent : « Une atteinte au prestige et au crédit de la République dans toutes ses institutions, car elles portent inéluctablement atteintes aux intérêts vitaux de l'Etat et de la nation. Au regard des dispositions des articles 88, 157 et 158 du Code pénal gabonais, le coupable doit être puni d'un emprisonnement de un à dix ans. »

Pour Me Nkea, le président Omar Bongo Ondimba est décédé dans l'exercice de ses fonctions, son mandat devant s'achever en 2012. S'il avait survécu, il serait toujours en fonction.

« Profiter de ce décès pour porter des accusations mensongères sur des actes qu'il a posés dans l'exercice de ses fonctions c'est porter atteinte à la République toute entière. »

M. Jocktane a posé un acte qui, selon M. Nkea, a souillé la République. Il est donc judicieux qu'une « réponse juridique et non politique » soit apportée à ses allégations.

Aussi l'Etat gabonais qui a subi un préjudice « sollicite-til l'ouverture d'une enquête puis d'une instruction contre M. Mike Joctktane. »

Il sera donc question pour ce dernier, de faire devant les tribunaux gabonais, la preuve de ses affirmations.

« A la suite de cette enquête suivie d'une inculpation, un mandat d'arrêt international doit être délivré à son encontre et exécuté par Interpol en raison de la convention d'entraide judiciaire existant entre la Gabon et La France », fait savoir Me Nkea. Et de poursuivre avec les dispositions de l'article 514 du Code de procédure pénale gabonais « Tout citoyen gabonais qui, hors du territoire de la République gabonaise, s'est rendu coupable d'un fait qualifié de crime ou délit par la loi gabonaise, peut être poursuivi et jugé au Gabon... » Histoire de taire les polémiques sur la compétence des tribunaux gabonais.

Avant de renseigner que l'article 514 in fine précise que cette procédure n'est possible que si les faits sont également stigmatisés par la législation du pays où ils ont été commis.

En l'occurrence les articles 26 et 27 de la loi du 29 juillet 1881 relative à la liberté de la presse en France, punissent des peines d'emprisonnement et d'amende les mêmes faits.



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27/11/2011

Gabon: LE LOOSER MIKE JOKTANE , JUDA ET EVEQUE DÉFROQUÉ

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Né après l'éthique et la honte le tristement inconnu Mike Jocktane s'est permis de s'inviter dans les cercles haineux et paternalistes de la Françafrique.

Joker ou amuseur public, ce bonhomme dont le profil se caractérise par son manque d'épaisseur tant intellectuelle que morale, malgré ses habits de moine, doit tout à la générosité de Feu le Président Omar Bongo Ondimba qui avait la qualité de ne jamais désespérer de l'espèce humaine, même la plus vile et tortueuse.

Conseiller par titre plus que par compétence, Directeur adjoint de cabinet sans activités autres que le mouchardage et la course aux prébendes et trafics d'influence, cet inconnu du gratin administratif de notre pays, s'est permis de se positionner en déballeur en chef auprès de journalistes tout aussi ombrageux et sans talent que lui, dans un torchon à paraître.

Au mépris des valeurs que celui qui sur le tard s'est découvert une âme et une vocation de Martin Luther King clame incarner, voilà notre ci-devant nullard devant l'eternel, cartouchard des facultés d'ici et d'ailleurs qui joue aux révélations tardives et autres confidences au parfum diffamatoire.

C'est le propre de la vermine, cette espèce qui ne prospère que par le parasitage, hier des cercles du pouvoir, aujourd'hui d'une opposition morbide en accointance avec des écrivaillons et autres journaleux qui ne connaissent l'Afrique et surtout le Gabon que par ouï-dire.

Pas de quoi tomber à la renverse pour un individu, tout évêque qu'il fut (défroqué ??) si peu fréquentable qui serait resté tristement anonyme n'eut été la générosité du Feu Président.

C'est cela « Aimer tous les hommes » ?
C'est cela les enseignements de la foi , les principes et valeurs bibliques?
C'est cela le respect de la mémoire de son Bienfaiteur ?

C'est plutôt le plongeon dans le sommeil politique et spirituel d'un individu qui cultive l'ambivalence et dont le parcours scolaire, religieux, administratif et politique est semé de zones d'ombres.

C'est plutôt le signe d'une rencontre avec le diable aux apparences et formes multiples.

Monsieur le faux évêque et faux dévot, soyez cohérent et ne vous prévalez plus de ce que vous avez écrit et signé de votre main …de Judas :

« En 2005, j'ai été nommé Conseiller Personnel du feu Président Omar Bongo Ondimba. C'est cette fonction, que j'ai occupé aux cotés de cet illustre homme d'État, pendant près de quatre ans, qui m'a permis de m'imprégner des réalités du monde du pouvoir et surtout d'apprendre les rudiments de la vie politique gabonaise. Le contact régulier avec lui ainsi que tous les autres grands décideurs m'a profondément enrichi et préparé pour les temps actuels.

Le 29 janvier 2009, je suis nommé Directeur de cabinet adjoint du Président de la République. J'ai occupé ce poste jusqu'à la fin de la période de transition politique.
»

NO COMMENT mais oh combien révélateur !


Mike Jocktane est un comique opposant alimentaire et très copain de l'hooligan1er Mba Obame. Connaissant ces deux là et leur gang, s’ils avaient des preuves de ce qu’il raconte, des vidéos, on les aurait déjà vu sur le net .


Ce pseudo pasteur rigolo fait du cinéma. Il y a rien de nouveau dans ce qu’il dit. Puisque que tout le monde sait déjà que feu Omar Bongo donnait l’argent aux gens, mais rien ne prouve que ce n’était pas son argent personnel étant donné qu’il est resté longtemps au pouvoir. Peut être le soulard Mike Joctane aurait lui-même aussi reçu des mallettes de la part du défunt président ?



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Gabon: UN NÉCROMANCIEN NOMMÉ MIKE JOCKTANE

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Source : Le Scribouillard du vendredi 25 novembre 2011

 

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Gabon: UN HURLUBERLU NOMMÉ MIKE JOCKTANE

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Source : Le Scribouillard du vendredi 25 novembre 2011

 

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Gabon: LES CANARDS BOITEUX DE LA DÉMOCRATIE . André Mba Obame, Zaccharie Myboto, Jean Eyeghe Ndong, Jules Bourdes Ogouliguendé, Marc Ona Essangui, Georges Mpaga ...

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Gabon: COUP D'ETAT AVORTÉ D'ANDRE MBA OBAME , LE MERCENAIRE BESCOS DÉPOSE PLAINTE .

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Comme vous le voyez bien, c'est du fond de sa prison que Bescos aurait décidé de nous traîner en justice.

L'emploi du conditionnel trouve son sens dans le fait que nous ne sommes pas certains que cette procédure ait véritablement et directement été initiée par le pauvre.

Depuis un certain temps, la mobilisation de la belle armada médiatique (« Echos du Nord », « La Une », « Le Nganga », « Le Mbandja », etc.) et politique d'AMO autour de cette affaire, a été si formidable qu'il fallait s'attendre à d'autres formes de soutien à Bescos.

Après la presse d'attaque d'AMO, voilà maintenant que l'un de ses avocats se porte garant de défendre Bescos.

On sait que nos admirateurs vont bientôt nous flanquer sur le visage le droit de tout avocat à accepter de défendre qui il veut. Et là, ils auront triplement raison : l'avocat d'AMO a parfaitement le droit de défendre le mercenaire d'AMO.

Surtout que Me Gisèle Eyué jouit d'une intégrité aussi blindée que les faux fourgons de Félix qui l'avaient rendue célèbre. On ne peut donc que s'incliner et lui souhaiter bonne chance.

Techniquement, on ne sait pas tellement comment ça va se passer le jour de l'audience. Le plaignant, c'est-à-dire Bescos, bénéficierat- il d'une dérogation ou laissera-t-il seulement son conseil venir le représenter ? Difficile.

Mais il n'est pas question, en ce qui nous concerne, que le plaignant ne soit pas présent à la barre car, pour notre défense, et c'est notre droit le plus absolu, nous avons quelques questions à lui poser. Il faudra donc qu'il soit présent.

Il faut dire que cette procédure contre « La Griffe » tombe au plus mauvais moment pour Bescos et son conseil.

Les enquêtes, toujours en cours, ont trouvé terre fertile sur deux éléments saisis lors de la perquisition. Les faux permis de port d'armes, volontairement falsifiés, ainsi que les épaulettes de capitaine de l'armée.

Des éléments, ajoutés aux armes de guerre et aux munitions saisies, qui n'ont strictement rien à voir avec sa profession de « forestier ».

Ce qui pourra amener – si ce n'est déjà – à une douloureuse requalification des faits. Et… D'ici-là, accusée « La Griffe » : levez-vous !



Source : La Griffe du vendredi 25 novembre 2011


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Gabon: APRES LE KO DE LA BIOMÉTRIE , MARCO ET AMO ONT SAUTES PIEDS JOINTS DANS LE BÉTON.

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De trois au départ, nous en sommes presque au triple. La saignée est tellement douloureuse qu'à défaut d'arrêter l'hémorragie, les radicaux ont tout simplement décidé d'abandonner la caravane pour aller voir ailleurs. Les traîtres sont partout…

Entre Eyeghe Ndong qui demande pardon, supplie ses supporters de l'accompagner à la pêche le jour du scrutin, et Marc Ona qui joue désormais aux apprentis bétonneurs, il y a comme une communion de stratégie :
celle de l'abandon.

Lorsque ceux qui incarnaient le jusqu'au-boutisme, symbolisaient le front permanent et caractérisaient la première ligne de défense ne parlent plus d'empêcher la tenue du scrutin, n'entonnent plus le célèbre « pas de biométrie, pas d'élection », c'est que le combat est définitivement perdu.

Et pourtant, avant de décider d'aller à la pêche, le Hutu modéré de Nkembo ne manquait pas de pêche dans ses déclarations et actes. Et pourtant, avant d'aller faire sa déclaration d'amour du béton à Glass et Rio, Marc n'avait jamais été – pas une seule fois ! – en manque de propos en métal , quand bien même son raisonnement était construit de briques et de broc.

Maintenant, c'est notre tandem qui vient de déserter le front: qui pour aller embêter les pauvres poissons, qui pour aller mélanger les esprits avec du sable et le ciment. Finalement elle est grande, la famille des déguerpis.

Il y a d'abord ceux qui se sont auto-déguerpis de la biométrie pour se reconvertir dans la pêche et la maçonnerie.

Ensuite, ceux qui ont courageusement pris la tangente et accepter d'aller participer à ce scrutin dont ils avaient pourtant promis, la main sur le coeur, d'empêcher la tenue si jamais Zeus s'entêtait à l'organiser sans la biométrie.

En tout cas, l'animosité et la haine qui les animent aujourd'hui, l'un à l'égard de l'autre, n'ont d'égal que l'amour qui les unissait hier. Comme dirait Marc, « c'est la vie ».

Une « vie » qui a vu cette belle aventure, ce noble combat, qui prenait pourtant, comme l'expliquait presque en larmes Paulette, ses sources dans les contrées libérées d'Afrique du Sud, se liquéfier au fur et mesure que la date du scrutin s'approchait.

Et puis, se produisit ce que Marc, bouillonnant de colère, considère comme étant le baiser de Judas : l'annonce de Mayila, Maganga et Ndaot de participer aux législatives La trahison est vécue comme un coup de Douk-Douk dans le dos

Mais Ona et ses alliés de l'ex- UN ne savent pas que ce n'est que le début d'une véritable bérézina.

A son tour, celui que l'on croyait être un allié sûr et digne de confiance, l'UPG, décidait aussi d'aller au vote.

Et quand viendront s'ajouter l'appui de ce renégat de Bruno Ben Moubamba au Bureau exécutif de l'UPG ainsi que la participation de Richard Moulomba, que l'on présentait fièrement comme un homme qui « a le parler vrai et franc, certes qui peut déranger, mais que l'on voudrait retrouver chez de nombreux hommes politiques » (« Echos du Woleu Ntem »), c'est carrément le cauchemar.

Autour des SPF (sans parti fixe) de l'ancienne Sobraga, il ne restait plus que le RNB et le CDJ. Mais voilà que, contre toute attente et alors que Kombila partage le cafémisère avec eux, on apprend que son parti a présenté des candidats.

C'en est trop ! Et ce ne sont pas les gesticulations du cardiologue qui viendront refroidir les coeurs fragiles des autres. Loin de là ! Et pour cause : tous n'ont pas encore oublié que dans le genre, Kombila est un vrai pro et qu'il n'est pas à son premier coup.

Il en détient d'ailleurs les droits d'auteur puisque c'est lui qui avait inventé la manoeuvre en 1990 lorsqu'il a avait subtilement contourné le boycott de son ancien frère Mba Abessole pour aller se faire élire en clando à Moabi.

Pour ses amis, même s'ils ne le lui disent pas, il est clair que ce qui se passe aujourd'hui dans son parti participe d'une tactique qu'il a inventée et dont il est le seul détenteur du mode d'emploi. Mais la propagande se garde bien de le rappeler.

Pour avoir travaillé et fait chemin avec le Bûcheron, elle sait que les colères de Kombila sont brutales et barbares. Le souvenir de l'intifada de Petit Paris est encore assez frais pour comprendre qu'il vaut mieux ne rien dire pour l'instant.

C'est qu'on le sait capable de se lever tout seul un beau matin et aller lapider les gens à l'ancienne Sobraga.

Si l'on peut comprendre l'évasion, tout en douce, du FAR et sa participation au scrutin, la surprise est venue de l'ex-UN, notamment de la tendance Myboto.

Hormis le rebelle naturel de Moanda, Valentin Léyama, qui a dès le départ refusé de s'embarquer dans l'UN, on vient de découvrir que deux zacharistes pur jus, députés sortants, ont accepté de prendre part au scrutin du 17 décembre.

Il s'agit des braves Luc Mvouamba, de Pana et de Daniel Nkombé Lékambo, de Mbigou. Pour peu que l'on se rappelle bien que ces deux-là étaient les plénipotentiaires de Zac' dans « ça suffit comme ça » et que Myboto ne dit rien depuis que leurs candidatures ont été rendues publiques, là, il faut reconnaître que pour AMO, la situation est devenue extrêmement délicate.

Car, à tout point de vue, l'attitude de Zac' et ses lieutenants montre clairement que la situation a très nettement évolué.

Bref, que l'on est parti de la désertion et que nous sommes bel et bien en plein dans ce qu'il faut appeler la trahison. C'est ici que la prémonition de Marc Ona trouve toute sa révélation : « Vous n'avez encore rien vu ».


Source : La Griffe du vendredi 25 novembre 2011


MICHEL OGANDAGA  
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26/11/2011

Gabon: Vernissage d'une série de timbre en soutien des veuves et en présence de la Première Dame Sylvia Bongo Ondimba.

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COMMUNIQUE DE PRESSE

Libreville, le 25 novembre 2011 -
Aujourd'hui s'est tenu à l'Assemblée Nationale de Libreville , un vernissage d'une série de timbre à l'occasion de la journée internationale des veuves.

Ce vernissage, en collaboration avec la Poste, fût une nouvelle occasion de montrer le soutien de toute la société gabonaise aux veuves de notre pays.

Grâce aux timbres qui ont été inauguré aujourd'hui, c'est le Gabon tout entier qui sera durablement mobilisé pour cette cause universelle.

La Première Dame, Madame Sylvia Bongo Ondimba a d'ailleurs tenu à remercier chaleureusement la Poste pour avoir rendu ce projet possible.

Avec cette série spéciale dédiée aux veuves, c'est une réelle invitation aux voyages qui permettra à chaque gabonais de rester en contact avec ses proches aussi loin soient –ils et de continuer à transmettre un message d'espoir et de solidarité.

La célébration ce même jour de la journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes ne doit pas passer inaperçu. La Première Dame à d'ailleurs fait savoir qu' « À travers les veuves, c'est également un hommage aux femmes qui doit résonner. N'oublions jamais que le veuvage est un facteur de vulnérabilité supplémentaire. C'est une source potentielle de violence »

A travers son discours , la Première Dame a rappelé les différentes initiatives misent en place par la fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille depuis que le Gabon a permis l'adoption, par les Nations Unies, d'une Journée internationale des veuves, en décembre dernier.

En effet, le 25 juin 2011, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille a inauguré un centre d'accueil et d'écoute pour les veuves au sein Centre Mbandja de Libreville.

Peu de temps après, la première ligne d'écoute gratuite pour les veuves, le 1455 voyait le jour et permet ainsi aux veuves de trouver conseil auprès de spécialistes juridiques et administratifs.

Pour la Première Dame, « Solidarité, Responsabilité, c'est de cela qu'il est question. Pour les veuves bien sûr mais aussi pour l'ensemble de la société gabonaise ….. nous pouvons changer les choses. Toutes les initiatives sont bonnes, même les plus petites »

Ce timbre commercialisé dès , ce lundi 28 novembre 2011, marque l'engagement social de la poste aux côtés des actions de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba.

La Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille a pour but de promouvoir la participation des jeunes et des femmes au développement du Gabon. Elle agit dans trois domaines d'actions prioritaires : l'éducation de la jeunesse, les droits et la promotion de la femme et l'insertion des personnes fragilisées.


Pour plus d'informations sur les activités de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba, vous pouvez consulter les liens suivants :

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/

https://www.facebook.com/pages/Sylvia-Bongo-Ondimba/15535...

Contacts Communication : presse@fondationsbo.org

 

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25/11/2011

Gabon-Mallettes d’argent : " un produit d’imagination "

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L'affaire des mallettes d'argent, relayée par des médias français, après des affirmations contenues dans un livre de Mike Jocktane, est davantage la manifestation de l'aigreur ou du désarroi d'un homme que des révélations en soi.

Le pasteur Mike Jocktane se dévoile. Dans un livre à paraître aujourd'hui, il se répand dans des accusations et des affirmations gratuites, à même de mettre à mal les bonnes relations qui existent entre le Gabon et la France.

Avant parution du fameux ouvrage, intitulé " le scandale des biens mal acquis, enquête sur les milliards volés de la françafrique ", des extraits avaient déjà été exploités par des médias français, sans doute de connivence.

L'ancien directeur de cabinet adjoint de Feu président Omar Bongo Ondimba affirme, par exemple, que l'illustre disparu avait financé la campagne du président français Nicolas Sarkozy, en 2007.

Il ajoute que les mallettes d'argent du Gabon avaient été remises au candidat à la présidentielle française par l'intermédiaire de M. Albert Bourgi. Et que ce système de transfert des fonds gabonais vers des politiques français se poursuivrait jusqu'à ce jour.

Toutes ces affirmations, douteuses et graves, ont été relayées par des tabloïds, sites d'informations en ligne et autres médias de l'Hexagone.

Une sorte de campagne médiatique s'est subtilement construite autour
des allégations qui traduisent davantage l'aigreur d'un homme que des révélations.

Mike Jocktane, on le sait, a arpenté pendant de bonnes années les couloirs du palais du bord de mer. Il a été Conseiller puis directeur de cabinet adjoint de feu président Omar Bongo Ondimba. Il n'avait jamais dénoncé ce système des mallettes d'argent, si système il y avait.

Le pasteur ne s'était jamais aussi soucié que l'argent du contribuable gabonais sortie si facilement, au détriment du développement du pays. Tant qu'il occupait sa position de directeur de cabinet adjoint du président, il n'y avait rien à dénoncer.

Aujourd'hui, passé dans l'opposition, en disgrâce, pour ainsi dire, avec le régime démocratiquement installé, Mike Jocktane se résout à dénoncer un système qui l'aura nourri pendant un bon bout de temps.

Il y a, dans cette façon de faire, une certaine ingratitude, une aigreur. C'est sans doute également la manifestation d'un désarroi et d'une certaine agitation intérieure.

Lorsque le complot ne produit pas l'effet escompté, il arrive qu'on finisse par se découvrir, par sortir de sa cachette et d'agir à ciel ouvert. Il est à croire que l'affaire des biens mal acquis, montée de toutes pièces et agitée par intermittence par des médias français, soit orchestrée par des taupes du même acabit, agissant par personne ou organisme interposé.

Elles se dévoileront aussi un jour, sauf à reconsidérer leur logique du mal, de la déstabilisation et de la subversion.

En affirmant, sans preuves matérielles, que le Gabon a financé la campagne du président Sarkozy, l'ancien directeur de cabinet adjoint mène une mauvaise campagne contre son pays. Il se dévoile dans ses probables conspirations.

Le français Albert Bourgi, accusé dans cette affaire de transfert d'argent du Gabon vers la France, a vite fait d'apporter un démenti, à travers un site Internet, voyant dans les allégations de Mike Jocktane " le produit d'une imagination ".

Cette affaire des mallettes d'argent n'est pas aussi loin d'une diversion.

Elle intervient dans un contexte où le Gabon est lancé dans une dynamique de réformes et de projets divers, visant à améliorer les conditions de vie des populations.

Deux ans après l'investiture du chef de l'Etat Ali Bongo Ondimba à la magistrature suprême, des chantiers de construction des échangeurs sont visibles à Libreville, les personnes économiquement faibles sont prises en charge à travers la Caisse nationale de maladie et de garantie sociale (Cnamgs), un plan d'urgence santé est envisagé, etc.

Ce sont des faits qui sont difficiles à nier, même par des actes de diversion.



Source : Alexis Koumba , Gabon Matin




MICHEL OGANDAGA

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Gabon: LE TRIO DE CHOC . LA HONTE NE TUE PAS AU GABON , LA PREUVE EN IMAGE.

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C'est le titre que Marc Ona a donné, de sa propre main, à cette belle image.

Une image qui, en tout cas, nous éloigne de la calamiteuse débâcle du safari biométrique pour nous plonger, avec soulagement, bonheur et enthousiasme, dans celui de la défense, bec et ongle, du béton.

Une nouvelle croisade qui est menée par les trois croisés ci-dessus alignés.

Revue des troupes :

A votre gauche, c'est la ravissante Paulette Oyane. Qu'on ne vous présente plus puisque la pédézozo est devenue une véritable star interplanétaire.

Ici, notre people du Barreau se bat pour les SDF ( ?) qui ont perdu leurs piaules dans l'opération « Libérez les trottoirs ».

Une noble cause qui, malheureusement, n'a pas tellement troublé la solitude de Paulette au point qu'elle n'a toujours pas songé à recueillir quelques-uns de ces déguerpis dans son luxueux château du Camp de Gaulle.

C'est vrai qu'il est mieux de partager son ascenseur ( la seule femme au Gabon qui a un ascenseur dans sa maison , du salon à la chambre directement . Un luxe insolent et provocateur ) avec les canards et les porcs-épics qu'avec des habitants des trottoirs.

Reste à savoir si la Charte africaine des droits de l'Homme, le Véda (sorte de Bible) de cette bouddhiste non-pratiquante, autorise que l'on héberge des animaux et que l'on ferme la porte aux humains sans abri...

Au milieu, c'est une nouvelle venue de l'activisme anti-régime. Elle s'appelle Flavienne Adiahénot, la fille du député pédézozo Jacques du même nom.

Depuis que son papa Adia a quitté le gouvernement et que ses chances de devenir le futur Condé de Libreville sous les couleurs pédézozos sont désormais réduites à zéro, la fifille a précédé son pater de l'autre côté.

Histoire de se pré-positionner déjà en vue du changement de trottoir de son papa. Normal qu'elle se sente victime de cette opération de libération des trottoirs qui risque de compromettre ce soyeux passage du trottoir parlementaire au trottoir municipal.

Une traversée Triomphale du boulevard du même nom qui ne saurait pousser fifille à parler de cette affaire des 4 milliards de dôlès de l'Habitat.

Dôlès dont on reste sans nouvelle depuis le temps où Adia y faisait la pluie et le beau temps. Mais tout ça ne doit plus être qu'un vieux souvenir digne des débats de trottoir...

Quant à celui de droite, vous l'avez facilement reconnu. Intégriste de l'environnement, fondamentaliste de la lutte pour la préservation de la nature, Marc Ona est désormais un fervent partisan de la cause du béton.

Même qu'il est prêt à se jeter, sans la moindre hésitation, sous les chaînes d'un bulldozer pour protéger les valeurs écologiques du béton armé.

Mais il ne s'agit pas de celui qui abrite ses compatriotes, mais de celui qui déborde sur le domaine public. Donc, le tout béton c'est Marc.

Certes, il a reçu le prix Goldman pour avoir hurlé qu'on n'aille pas déverser une seule goutte de béton dans les chutes Koungou, il n'empêche qu'aujourd'hui, il est disposé à donner sa vie pour qu'on ne casse pas un seul millimètre cube de béton pour libérer et aérer les trottoirs et en y plantant des arbres et des fleurs.

Briser du béton pour planter des arbres, quelle horreur !


S
ource : La Griffe du vendredi 25 novembre 2011


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Gabon: LE CADEAU DE MBA OBAME AU PARTI SOCIALISTE FRANÇAIS

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Nul ne peut vraiment dire si c'est un cadeau bien acquis ou mal acquis, mais toujours est-il qu'AMO et son évêque sont de sacrés altruistes.

S'agissant du premier, AMO, il n'a pas plus besoin de faire ses preuves dès lors que Monseigneur Mike Jocktane est très bien placé pour confirmer que son arrivée à l'Olympe, ainsi que son élévation au grade de directeur adjoint de cabinet, ont été des cadeaux d'AMO à Omar.

Et de lui, AMO, Omar en a reçu à la pelle, même après sa mort.

Sa parade dans la chambre où il avait rendu l'âme participe de cette pratique de don qui, visiblement, est loin de prendre fin. En bon fils de notable et d'homme d'Etat, c'est ainsi qu'il a été éduqué.

Car, au fond, Mike Jocktane n'est pas le genre de prélat à prononcer la moindre homélie sans avoir d'abord reçu la bénédiction de son Dieu Mba Obame.

Et quand ce bon pasteur va se confier à deux journalistes, exorcistes des temps bien acquis, il ne s'agit pas d'une innocente confession. Le soldat est en mission. Rassurez-vous !

Ce n'est pas pour aider les intégristes de la Société civile à retrouver les BMA. De toutes les façons, AMO et MJ n'ont pas leur temps.

D'ailleurs, Monseigneur a bien précisé qu'il n'a jamais assisté à la remise de l'argent, le convoyer lui-même non plus.

Ce qui veut clairement dire que sa sortie n'aura aucune incidence judiciaire. Ni pour le « corrupteur », ni pour le « corrompu ».

Alors, pourquoi, et seulement maintenant, faire la révélation de ces faits qu'il n'a jamais vu et dont il ne détient aucune preuve ?

Evidemment, il faut juste voir qui ça peut embar rasser. Dans ce schéma, seul Sarko est visé, pas judiciairement, mais politiquement.

Au moment où le probable candidat de l'UMP est en train de refaire son retard dans les sondages, le faire ainsi passer pour un corrompu, relève, ni plus ni moins, de l'attentat politique. Pour ne pas dire du terrorisme politique.

Et lorsqu'on reconnaît de surcroit ne détenir aucune preuve de l'accusation portée, on tombe en plein dans un concentré de manipulation, de machiavélisme et de cynisme.

Mais on aurait tort de croire que nos grandes âmes de l'opposition n'ont plus de borne morale ni de boussole politique.

Car, pour qui sait la mécanique intellectuelle de Mba Obame, il est aisé de comprendre que la sortie de son pasteur, est de sens et d'opportunité.

Le rêve d'AMO, c'est de voir Sarko quitter le pouvoir, persuadé qu'il est que c'est le président français qui est le principal soutien
politique et militaire de Zeus.

L'accuser de pires vilénies n'est qu'un magnifique cadeau au PS, dont le candidat connaît un joli trou d'air dans les sondages.

En cas de victoire de Hollande, AMO, se frottant les mains, attendra tranquillement le renvoi de l'ascenseur. Le bon plan. Reste à AMO et MJ de prier que Sarko perde vraiment.

Quant à notre surdoué Mike Jocktane, il faut sincèrement prier pour que ses fidèles continuent de lui faire confiance. Parce que, franchement, aller se confesser chez un prêtre qui ne sait garder aucun secret…

 

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Source : La Griffe du vendredi 25 novembre 2011


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